de l’autre côté
la lumière est éblouissante
la solitude rutilante
les automobiles roulent silencieusement
sur des coussins d’air
les fleurs sont rares
presque fanées
mais leurs parfums vous entrainent
vers le mystère
il n’y a plus de soucis à se faire
l’homme s’en va doucement
sur sa pente
de l’autre côté du désastre
vers sa métamorphose